dimanche 26 février 2012

balade n° 22 sur la carte générale de la région Midi pyrénées

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•  aujourd'hui, nous prenons la direction de Rocamadour.
• le beau temps est de sorti, nous en profitons donc pour ressortir nos gros sacs de rando, et partons pour une sortie à la journée.
• nous laisserons le village célébre pour son fromage et situé sur les chemins de Saint Jacques de Compostelle, pour visiter l'arrière du village et les gouffres de cabouy et de saint sauveur.

 

 

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•  nous laissons le voiture sur un parking situé sur la droite de l'entrée du village;
• de là nous pouvons apercevoir la cité perchée sur le rocher.
• le chemin démarre sur le GR 6, par la vallée de l'Alzou

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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•  au bout de la route goudronnée, nous prenons sur la gauche, pour rentrer dans les gorges de l'Alzou.
• le spectacles est magnifique : roches, grottes, falaises... petits souvenirs du Sud de la France...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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•  après quelques kilomètres nous arrivons au col de Magès, qui est la  frontière entre les vallées de l'Ouysse et de l'Alzou.
• de là, nous avons de magnifiques points de vues sur les deux vallées.

    

           

 

 

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•  après le col de la Magès, nous prenons sur la gauche, pour atteindre le gouffre de  Cabouy.
• nous découvrons un spectacle magnifique : nénuphares, eau transparente, eau bleue verte...!!!!! nous en profitons pour déjeuner. 

• La résurgence de Cabouy se trouve dans la vallée sèche de la Pannonie, à trois kilomètres WSW de Rocamadour, à l'altitude 115 mètres⁷. Ce gouffre noyé marque le départ de l'Ouysse aérienne. C'est une vasque de 30 mètres de diamètre tapissée par une épaisse végétation aquatique jusqu'à 6 mètres de profondeur. Une station de pompage pour l'alimentation en eau potable est installée aux abords de la vasque. En crue, 30 m³/s d'eau sont expulsés. À l'étiage, aucun courant n'est observé. Le conduit souterrain débouche dans la vasque par un porche noyé de 4 mètres de haut par 6 mètres de large.

  En 1977, une plongée à la résurgence de Cabouy permit, après 835 mètres et un point bas à -31 mètres, de rejoindre le gouffre de Pouymessens. [ source : Wikipédia]

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                         

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•  nous faisons le tour du gouffre pour continuer notre route en direction du gouffre de Saint-Sauveur. 
• au coeur des bois nous longeons l'Ouysse.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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•  après une petite descente, nous arrivons au gouffre de Saint Sauveur.

La résurgence de Saint Sauveur est située sur la commune de Calès, à environ un kilomètre à l'Ouest de Cabouy, à une altitude de 112 mètres. C'est une belle vasque d'eau claire de 25 à 30 mètres de diamètre dont le fond est sablonneux. Elle donne naissance à une des branches de l'Ouysse qui conflue avec la rivière issue de Cabouy environ 750 mètres plus loin⁷.

Le conduit noyé descend progressivement sur 150 mètres jusqu'à -70 mètres de profondeur¹⁶. Après un palier horizontal long de 550 mètres, le conduit plonge à nouveau jusqu'à -180 mètres (terminus de la plongée de Ric Stanton le 31 mai 2005), soit environ 70 mètres sous le niveau de la mer. Le 24 juillet 2005, le français Jérôme Meynie prolonge une quinzaine de mètres et atteint la profondeur de 182 mètres en utilisant unrecycleur¹³. Le 17 septembre 2007, au cours d'une plongée de 17 heures dans l'eau à 13 °C, Rick Stanton atteint le point bas à -186 m puis poursuit sur environ 70m en remontant à -175 m. Il utilisait des recycleurs¹⁷.

le gouffre de Saint Sauveur est une source de type vauclusienne profonde alimentée par des eaux d'infiltration d'une partie du causse de Gramat, mais aussi par celles de l'Ouysse qui se perdent à la bordure Nord-Est de ce causse. Les traçages ont montré que la zone d'infiltration pouvait être délimitée ⁶ :

• au Sud par Labastide-Murat avec la rivière souterraine accessible par les igues de Goudou et Lacarriére (communication prouvée) ;
• au Sud-Sud-Est par une partie de la Braunhie près de Caniac-du-Causse : Igues de Bonneau (présumée), Planagrèze (prouvée), de l'Aussure (présumée), réseau de Viazac-Taoucat (présumée) ;
• au Sud-Est par la rivière souterraine de l'igue des Combettes Carlucet (présumée), La perte du Lac de Reilhac (prouvée) et l'igue de Marty près de Gramat (présumée).

Une ancienne conduite forcée naturelle se trouve en aval, en rive gauche, à 250 mètres et 18 mètres plus haut que la vasque de Saint-Sauveur⁷. Cette grotte de Saint-Sauveur présente une section de deux mètres de diamètre se réduisant sur 25 mètres de longueur. Elle se termine par une petite salle de 4 mètres de hauteur. À l'extérieur, une grande arche de pierre se trouve dans son prolongement. [ source : wikipédia]

 

            

      

 

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•  nous faisons demi tour par le même chemin pour rejoindre notre voiture.
• en route nous recroisons de magnifiques points de vus sur Rocamadour, que nous ne manquerons pas de viviter une prochaine fois. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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• nous rentrons après une randonnée de 4h30., les courbatures étaient au rendez vous le lendemain...aie aie aie  !!!!! mais les paysages en valaient la peine.
• voici le tracet sur la carte IGN 2136, echelle 1/25000

dimanche 4 décembre 2011

balade n° 19 sur la carte générale de la région Midi Pyrénées

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•  lors de notre balade à Saint Cirq Lapopie, nous avions repéré une autre balade à faire: les chemins de halage.
• aujourd'hui direction donc Bouziès pour démarrer cette petite rando. 

Le halage est un mode de traction terrestre des péniches et des coches d'eau. Sans se substituer aux fonctions écologiques d'une vraie berge, cet aménagement joue encore un certain rôle de corridor biologique.

Il nécessite un chemin dégagé et mis hors d'eau, longeant de près la berge des voies d'eau navigables.

La traction des péniches le long des fleuves et canaux était très répandue avant l’invention de moteurs adaptés aux bateaux, l’usage de voiles n’étant pas toujours possible en raison de la présence de tunnels, de ponts ou pour cause de vents défavorables.

On distingue trois modes de traction terrestre des navires et péniches :

• le halage à la « bricole » : le marinier et sa famille s'attachaient à la corde de traction, appelée bricole, pour tirer le bateau ;
• la traction animale, par chevaux, ânes ou mulets : elle était surtout pratiquée (en France) dans le Centre ; les bêtes appartenaient au marinier, qui les logeait à bord, ou à des charretiers, appelés les « longs jours », qui disposaient de relais, le long des voies d'eau. En 1935, on comptait encore 1 500 bateaux écuries en France.
• la traction mécanique, par des locotracteurs électriques sur rail ou sur pneus, ou par des tracteurs diesel (Latil).

D’autres modes de traction existent (remorquage, poussage, éclusée, touage…), mais ne nécessitent pas de chemin de halage.      [source : wikipedia]

• nous avons donc laisser notre voiture sur le parking en face du Lot.

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• la balade commence par le GR 36, qui longe le Lot, direction saint Cirq Lapopie par les chemins de halage. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

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•  voici notre nouveau compagnon de balade. elle apparaitra souvent sur les photos, alors autant faire les présentations:
• voici Bulma, notre chienne de 1 an, recueillie à la SPA. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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 le chemin nous conduits près de grottes et gouffres...pour arriver sur les chemins de Halage.

 

 

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•  après quelques mêtres nous découvrons des scultures à même la rcohe... très joli !!!!

 En 1985, dans le cadre du projet de réhabilitation du Lot navigable, Daniel Monnier, sculpteur toulousain entreprend la réalisation d'un bas-relief dans le flanc creusé du chemin de halage. Il y représente sa vision de la rivière Lot et son environnement, avec sa faune, sa flore, ses roches, ses fossiles et ses tourbillons.

"Une chose est sûre, avant que ce bas-relief ne s'effrite à nos pieds, j'ai quelques raisons de croire que les arrières petits-fils de ceux nés aujourd'hui, m'auront rejoint, étendus face au ciel".  David Monnier 

(source : http://www.decouvrez.fr/fr/-Sud-Ouest/chemin-halages-bouzies-saint-cirq-lapopie-randonnee.html)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

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•  le chemin se poursuit par un sentier de terre longeant la falaise et le lot. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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•  nous continuons notre route avec en ligne de mire, Saint Cirq Lapopie

 

 

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•  nous prenons l'ascension vers saint Cirq Lapopie.
• une bonne montée sur 200 m... mais la vue en vaut le détour... dommage que le brouillard bouche la vue.

 

 

 

 

 

 

 

   

 

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•  voilà pour cette petite balade d'hiver. nous avons marcher pendant 2heures.
• le chemin du retour, et les éclaircies nous ont permis d'avoir de jolis points de vues.

 

 

 

 

 

vendredi 11 novembre 2011

balade n° 16 sur la carte générale de la région Midi Pyrénées

 

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• nous voilà arrivés dans la région midi pyrénées depuis 3 semaines. une fois les cartons débalés et le boulot repris, nous chaussons nos outils de marches et partons à l'assaut de  la région !!!!!
• direction pour cette première balade, le village de Saint Cirq Lapopie. 
• agripé sur un rocher, le village est magnifique, et surplombe le Lot.
• village médiéval, il offre un dédal de ruelles où il est très argéable de se balader. 

Un des Plus Beaux Villages de France  En partie classé Monument Historique, ce lieu célèbre est d'une rare beauté surréaliste et magique. Suspendu au rocher depuis le 8ème siècle entre le ciel et le Lot qui coule à ses pieds (80m d'aplomb !), sa situation en fit un enjeu au cours de la guerre de Cent ans. L'impressionnante église gothique fortifiée domine cet ensemble. Regard et imagination sont entraînés par l'harmonie des pierres, des toits en cascade de tuiles brunes, des pittoresques maisons à arcades, des échoppes à pans de bois, portes et ruelles escarpées. Peaussiers, chaudronniers et surtout tourneurs sur bois firent la richesse du bourg, et encore aujourd'hui, musée et ateliers font revivre cette activité.

 

petites infos pratiques :                                                                                      se garer sur le parking en haut du village: 2€ pour la journée (très raisonnable)

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

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•  arrivés sur la parking, nous pouvons profiter de la magnifique vue sur la village et sur le Lot en contre bas.

 

 

 

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•  l'entrée dans le village commence par la vue sur une magnifique maison typique du village

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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• impatients de découvrir la vue, nous prenons la direction de l'office du tourisme, sur la place du Sombral.
• c'est aussi de cet endroit que l'on peut aussi accéder au sommet des vestiges de l'ancienne forteresse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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•  après la petite ascension, nous arrivons en haut du rocher surplombant le Lot. De là, nous avons une vue absolument magnifique sur la vallée, et sur le village.

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

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• après avoir apprécier la vue du haut du rocher, nous descendons vers la vielle église fortifiée du village.
• finalement, cette église ne portait pas un grand intérêt. En effet, de nombreuses rénovations ont été faite sans préserver l'aspect ancien du lieu.

 

 

  

 

  

 

 

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•  Ensuite, nous en avons profité pour flaner dans les petites ruelles du village.
• les facades des maisons sont typiques des villages médiévaux, on peut même apercevoir des petites maisons acrochées en haut des maisons, sûrement des anciens pigeonniers.

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

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•  à la sortie du village, des vestiges des remparts entourent le village.
• ce lieu nous offre de jolis points de vue sur la village et la vallée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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•  nous reprenons la route après 3 heures passées dans ce charmant village. 
• sur le chemin de retour, un panneau indique : "point de vue". nous décidons de nous arrêter. et quel spectacle!!!! au bout du chemin, un vrai cirque, très impressionnant!!! les photos ne rendent pas justice au paysage...

 

 

 

 voilà pour cette première balade dans notre nouvelle région.

la reprise s'est faite tout en douceur. nous avons marcher pendant 3 heures dans le village.

le site est vraiment très joli, et la saison offre la possibilité d'apercevoir de jolies couleurs, avec moins de monde qu'en été.

d'autre part, le village est le démarrage d'une balade très sympa que nous avons réalisée : les chemins de halage, en direction de Bouziès.